DIEU OU DARWIN
Mais qui fait la lois ici…?
Nous vivons dans un monde plein de paradoxes. ( proposition logique contraire à l'opinion courante ou raisonnement dont l'erreur, non apparente, est déduite du fait que sa validité détruirait tout le savoir. )
Voir . « les savants maudits ».
http://assoc.orange.fr/lerenouvelle/pub/index.html
Chaque jour, à chaque instant, nous sommes confrontés à des contradictions insupportables, qui finissent par causer des dégâts irréparables dans notre cerveau logique. (Alzeimer, Huntington Disease, Dépression, Creutzfeldt-Jacob, Démence précoce, etc. ).
Selon l'OMS:
plus de 150 millions de personnes font une dépression à un moment donné et près d'un million se suicident chaque année; en outre, 25 millions environ souffrent de schizophrénie, 38 millions d'épilepsie et plus de 90 millions de troubles dus à l'abus d'alcool ou à l'usage de drogues.
En cause, la société de consommation et son bras armé indéfectible, – la publicité – diffusée sur tous les médias, en particulier ; TV – presse et cinéma – avec des moyens techniques et financiers sans limite, engendre des contradictions insolubles en transformant toute vérité admise en mensonge et comme n''importe quel mensonge répété inlassablement fini par devenir vérité, la boucle est bouclée. Du côté des politiques, on n'est pas en reste, mais c'est plus subtile, non-dit, langue de bois et désinformation complètent le tableau aidés en cela par les lobbystes de tous bords.
La situation engendrée par le développement d'une société industrielle supportée par une économie qui n'a de libérale que le nom, n'est plus supportable pour la planète et plus acceptable pour la plupart des populations. Pour poursuivre envers et contre tout cette absurdité destructrice, les dirigeants aux pouvoirs doivent user de subterfuges en démontrant les dangers du moindre ralentissement économique : inflation/récession – krach boursier – famine – pillage – révolution, etc. et en minimisant les effets pervers du système ou en les niant carrément.
Le bon peuple, lui… vous, moi – ne sait plus à quel saint se vouer : OGM ou pas – Tabac ou pas – Alcool ou pas – Mac Do oui ou non – Gros 4x4 pour la sécurité ou Fiat 500 pour la sobriété – Croissance ou décroissance – Durable ou jetable – Écolo ou mégalo – Trop riche c'est pas bien, trop gros c'est pas beau, trop faim c'est la fin. – Vaccin par solidarité ou handicapé par liberté – Médecine allopathique ou homéopathique, tout ça c'est pathétique. Vivre ou mourir, merde j'peux plus choisir.
Stop, n'en jetez plus, vous m'avez vidé le cerveau, détruit mon libre arbitre et semé le doute permanent. Maintenant je suis le bon zombie dopé au Prozac, cible privilégiée des campagnes publicitaires et "politiquaires" sans oublier un zeste d'humanitaire pour satisfaire l'humain qui tend la main.
Qu'importe, nous approchons à haute vitesse de "l'éco.pic", le moment ou il n'y aura plus suffisamment de matières premières, pour satisfaire les besoins minimum de 8 milliards d'individus. Sous peu la machine infernale de la consommation va s'emballer. Déjà de nombreux objets inutiles sont produits uniquement dans le but de faire tourner le système et participent ainsi à l'épuisement des ressources et à l'augmentation exponentielle des déchets.
Déjà, la plus grande partie de la production agricole (80%) n'est plus destinée directement à la consommation humaine : bio-carburants – tabac – drogues diverses – betteraves sucrières pour l'alcool – soja et maïs pour les farines animales – pêche intensive pour nourrir l'élevage encore plus intensif de poissons industriels.
L'eau et l'air indispensables à l'essor du développement économique ressortent de la machinerie industrielle totalement dénaturés: non-potables – non consommables – non respirables, c'est à dire toxique à l'utilisation.
Tout ça pour soi-disant, nourrir l'espèce humaine et améliorer sont bien-être. Voyons ça… 1/4 de l'humanité meurt de faim, 1/4 disparaît précocement de maladie, un autre quart baisse la tête et tend la main pour survivre, au dernier quart qui lui vit confortablement et grossit… grossit sous l'abus de biens volés.
C'est normal, on nourrit les poissons des élevages industriels avec du poisson sauvage, jusqu'à épuisement des ressources.
On nourrit des millions de chiens et de chats domestiques avec les déchets carnés d'autres animaux.
Veaux, vaches, cochons sont engraissés aux farines animales issues de leurs propres congénères.
Dans cette optique, nourrir l'humanité dite civilisée avec la vie de ceux restés sauvages, quoi de plus logique.
Les riches ont toujours vécu sur le dos des pauvres
Les puissants sur le dos des opprimés
Les forts sur les faibles.
Ce sont les lois de l'évolution selon Darwin… non !
Ou la lois de Dieu ?
Ou la lois de l'Homme ?
Est-ce un paradoxe, un génocide planétaire ou une logique économique.
Mais après tout, réflexion faite ça fait peut-être partie du Plan d'évolution… l'Homme le dernier vainqueur, seul sur une Terre déserte, assisté de robots, maîtrisant toutes les forces de la Nature. Bon je vous le laisse, moi je pars pour une nouvelle "Belle Verte" à désertifier en 10.000 ans voir moins, maintenant qu'on connaît la marche à suivre.
Nous vivons dans un monde plein de paradoxes. ( proposition logique contraire à l'opinion courante ou raisonnement dont l'erreur, non apparente, est déduite du fait que sa validité détruirait tout le savoir. )
Voir . « les savants maudits ».
http://assoc.orange.fr/lerenouvelle/pub/index.html
Chaque jour, à chaque instant, nous sommes confrontés à des contradictions insupportables, qui finissent par causer des dégâts irréparables dans notre cerveau logique. (Alzeimer, Huntington Disease, Dépression, Creutzfeldt-Jacob, Démence précoce, etc. ).
Selon l'OMS:
plus de 150 millions de personnes font une dépression à un moment donné et près d'un million se suicident chaque année; en outre, 25 millions environ souffrent de schizophrénie, 38 millions d'épilepsie et plus de 90 millions de troubles dus à l'abus d'alcool ou à l'usage de drogues.
En cause, la société de consommation et son bras armé indéfectible, – la publicité – diffusée sur tous les médias, en particulier ; TV – presse et cinéma – avec des moyens techniques et financiers sans limite, engendre des contradictions insolubles en transformant toute vérité admise en mensonge et comme n''importe quel mensonge répété inlassablement fini par devenir vérité, la boucle est bouclée. Du côté des politiques, on n'est pas en reste, mais c'est plus subtile, non-dit, langue de bois et désinformation complètent le tableau aidés en cela par les lobbystes de tous bords.
La situation engendrée par le développement d'une société industrielle supportée par une économie qui n'a de libérale que le nom, n'est plus supportable pour la planète et plus acceptable pour la plupart des populations. Pour poursuivre envers et contre tout cette absurdité destructrice, les dirigeants aux pouvoirs doivent user de subterfuges en démontrant les dangers du moindre ralentissement économique : inflation/récession – krach boursier – famine – pillage – révolution, etc. et en minimisant les effets pervers du système ou en les niant carrément.
Le bon peuple, lui… vous, moi – ne sait plus à quel saint se vouer : OGM ou pas – Tabac ou pas – Alcool ou pas – Mac Do oui ou non – Gros 4x4 pour la sécurité ou Fiat 500 pour la sobriété – Croissance ou décroissance – Durable ou jetable – Écolo ou mégalo – Trop riche c'est pas bien, trop gros c'est pas beau, trop faim c'est la fin. – Vaccin par solidarité ou handicapé par liberté – Médecine allopathique ou homéopathique, tout ça c'est pathétique. Vivre ou mourir, merde j'peux plus choisir.
Stop, n'en jetez plus, vous m'avez vidé le cerveau, détruit mon libre arbitre et semé le doute permanent. Maintenant je suis le bon zombie dopé au Prozac, cible privilégiée des campagnes publicitaires et "politiquaires" sans oublier un zeste d'humanitaire pour satisfaire l'humain qui tend la main.
Qu'importe, nous approchons à haute vitesse de "l'éco.pic", le moment ou il n'y aura plus suffisamment de matières premières, pour satisfaire les besoins minimum de 8 milliards d'individus. Sous peu la machine infernale de la consommation va s'emballer. Déjà de nombreux objets inutiles sont produits uniquement dans le but de faire tourner le système et participent ainsi à l'épuisement des ressources et à l'augmentation exponentielle des déchets.
Déjà, la plus grande partie de la production agricole (80%) n'est plus destinée directement à la consommation humaine : bio-carburants – tabac – drogues diverses – betteraves sucrières pour l'alcool – soja et maïs pour les farines animales – pêche intensive pour nourrir l'élevage encore plus intensif de poissons industriels.
L'eau et l'air indispensables à l'essor du développement économique ressortent de la machinerie industrielle totalement dénaturés: non-potables – non consommables – non respirables, c'est à dire toxique à l'utilisation.
Tout ça pour soi-disant, nourrir l'espèce humaine et améliorer sont bien-être. Voyons ça… 1/4 de l'humanité meurt de faim, 1/4 disparaît précocement de maladie, un autre quart baisse la tête et tend la main pour survivre, au dernier quart qui lui vit confortablement et grossit… grossit sous l'abus de biens volés.
C'est normal, on nourrit les poissons des élevages industriels avec du poisson sauvage, jusqu'à épuisement des ressources.
On nourrit des millions de chiens et de chats domestiques avec les déchets carnés d'autres animaux.
Veaux, vaches, cochons sont engraissés aux farines animales issues de leurs propres congénères.
Dans cette optique, nourrir l'humanité dite civilisée avec la vie de ceux restés sauvages, quoi de plus logique.
Les riches ont toujours vécu sur le dos des pauvres
Les puissants sur le dos des opprimés
Les forts sur les faibles.
Ce sont les lois de l'évolution selon Darwin… non !
Ou la lois de Dieu ?
Ou la lois de l'Homme ?
Est-ce un paradoxe, un génocide planétaire ou une logique économique.
Mais après tout, réflexion faite ça fait peut-être partie du Plan d'évolution… l'Homme le dernier vainqueur, seul sur une Terre déserte, assisté de robots, maîtrisant toutes les forces de la Nature. Bon je vous le laisse, moi je pars pour une nouvelle "Belle Verte" à désertifier en 10.000 ans voir moins, maintenant qu'on connaît la marche à suivre.